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[#Avocat] Passer associé.e ou poser votre plaque ?

  • Photo du rédacteur: Samia Bounoua Debeine
    Samia Bounoua Debeine
  • 17 oct.
  • 2 min de lecture
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Pour éviter des années de tâtonnements.

Je vous partage 3 étapes [incontournables], avant même de parler partner track, logo ou site internet :


1. Trouvez votre niche

Et je ne parle pas de tendance où tout le monde se rue !

Si vous la voyez dans un post LinkedIn “tendances 2026” c’est grillé.

Un bon positionnement naît de tensions complémentaires ; les explorer ensemble permet de créer une vraie valeur : – ce qui vous motive vraiment (et vous fera tenir sur la durée) – ce que vous maîtrisez au point de pouvoir garantir un résultat – et un problème réel, coûteux, encore mal couvert

Ils sont interdépendants. En omettre, ne serait-ce qu’un seul, serait une erreur.



2. Cartographiez l'écosystème de votre niche.

Pas “les entreprises” ni “les dirigeants” : trop flou, inefficace…

Cibler large c’est risquer de flinguer votre crédibilité dès le premier mois.

 

Identifiez d’abord votre cible directe : une fonction, une direction, un enjeu budgétaire… bref, la personne qui :

> a intérêt à résoudre le problème

> en subit les conséquences (budget, juridique, réputation)

> et peut signer !

 

Puis, identifiez votre cible indirecte : celle qui influence la décision de votre cible directe (prescripteurs, partenaires, autorités, régulateurs…).

 

Cette cartographie vous permet de bâtir une offre qui fait écho aux vrais enjeux de votre cible, de paramétrer votre veille (pour anticiper les risques, les changements réglementaires, les opportunités business), de définir un discours qui percute… et de structurer tous vos contenus.


3. Entrez dans la tête de votre niche

Votre expertise ? Elle s’en fout.

Ce qui compte, c’est comment votre cible perçoit et priorise son problème.

Un problème non perçu comme urgent restera au bas de la pile.

 

Ce que vous devez clarifier :– Les signaux d’alerte qui le rendent impossible à ignorer (hausse des réclamations, retards répétés, multiplication des contentieux…)

Les pertes concrètes qu’il génère (pertes financières, temps mobilisé, impact sur la réputation…)

Les biais cognitifs qui le font sous-estimer (aversion à la perte ou au risque, illusion de contrôle, fatalisme, excès de confiance)

 

Quand vous maîtrisez ces trois points, vous pouvez formuler une offre qui s’impose naturellement, sans courir après vos prospects ni brader vos honoraires. Les avocats qui prennent ce temps au départ gagnent des années d’errance commerciale.


Le reste — visibilité, marketing digital, acquisition, fidélisation, tarification, augmentation du CA/client — devient plus simple… parce qu’il s’appuie sur des fondations solides.




 
 
 

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